L'analpha-bête, la petite sotte, le facho et Mr je-passe-pour-un-génie-grâce-à-google
Je m'exprime ici afin que vous n'ayez pas le loisir de faire sauter la réponse, et je sais que vous visitez -par faiblesse et ennui, bien sûr- mon blog.
^_^
Que vous n'accordiez aucun crédit à l'AT et au money managment est une position que je peux comprendre. Après tout, il y a débat sur le sujet. Par contre, il me semble opportun (et surtout charitable) de préciser que le fait de faire à peu près un trade gagnant sur deux suffit amplement à rendre l'activité lucrative. Des esprits un tant soit peu réceptifs aux outils mathématiques les plus élémentaires (espérence de gain, ratio gain/risque...) comprennent qu'il suffit que le potentiel de gain soit supérieur à la perte potentielle autorisée pour que sur le moyen terme, on s'y retrouve. Mais , là, je ne peux pas vous expliquer plus que ça (je suis descendu aussi bas que je pouvais). Si, allez, un exemple: si je mise 100 et que je peux gagner 6 (mon objectif) et que je risque 3 (mon stop loss), au bout de 100 opérations, j'aurais gagné 300 sur 50 trades (6*50 trades) et perdu 150 sur les 50 autres trades perdants. Ce qui signifie que l'un dans l'autre, j'aurais gagné 150. Le chartisme servira à disposer les supports, les résistances, les canaux. L'analyse technique et les indicateurs serviront à déterminer si la tendance est haussière ou baissière.
ALors, certes, certains préféreraient penser que le trading, c'est avoir toujours raison, ou même avoir raison 2 fois sur 3. Mais la vérite, c'est que sur une vingtaine de traders que je connais dont 4 qui en vivent, cela n'est pas le cas. Personnellement, je suis à 58% de trades gagnants. Le trading, ce n'est pas le même rendement que l'invstissement. Il faut les deux dans un portefeuille.
Je prends quelques vacances de bourso, pour laisser tomber le soufflet.
A tout à l'heure.